ANNÉE 978
Durant cette période belliqueuse, ce fut l'arrivée d'une deuxième fille à l'été ou à l'automne. Cette fois, pour rétablir l’équilibre des familles, elle hérita d’un prénom de la famille de Théophano, en fait de sa mère, Sophia Phocas (Phocaïna), épouse de Constantin Skléros, ce qui authentifie la filiation de cette dernière et son ascendance macédonienne.
Année belliqueuse en effet, car c'est là que se situe le "conflit de trop" entre cousins.
Les fêtes de fin d’année, passées à Dornburg, sont suivies du départ pour un trajet d’une cinquantaine de km. Théophano est donc une nouvelle fois enceinte et les parcours sont peut-être aménagés en conséquence, mais ce n'est pas sûr!
LA CHANCELLERIE OTTONIENNE
Chemin faisant, on peut dire quelques mots sur le fonctionnement, l’organisation administrative des tâches concernant l’établissement des textes officiels, de ces courriers et leur diffusion, regroupées à la chancellerie, sous la responsabilité du grand chancelier assisté par des notaires. Elle devint permanente sous les Ottoniens et à partir d’Otton Ier il y eut deux chancelleries, celle de Germanie et celle d’Italie.
Leur activité est importante si l’on imagine le nombre de documents produits, quelquefois à adapter ou à traduire : diplômes, courriers officiels, capitulaires, traités, instructions, compte-rendus divers, de conciles, de synodes, de diètes, etc…dont les destinataires sont souvent nombreux. Ils sont complétés la plupart du temps par la pose de sceaux pour valider les dits documents officiels.
Celui ci-contre le sceau d’Otton Ier, qui est utilisé à partir de 965, avec la représentation de la couronne, le sceptre et le globe à la croix.
Les correspondances échangées avec les différents responsables civils ou religieux des duchés, principautés, évêchés, etc.. supposent de nombreux secrétaires, capables de transcrire du courrier dans les différentes langues. Elles devinrent un outil primordial aux mains des Ottoniens, en particulier pour Otton II, puis Théophano qui garda en outre un lien épistolaire toujours suivi avec Byzance.
Déjà, plus d’une centaine d’années auparavant, la chancellerie carolingienne préparait et expédiait plusieurs actes par mois. Elle devait en recevoir autant des chancelleries étrangères, procédait éventuellement à leur traduction, leur diffusion, leur conservation, etc… ( Bautier 1991, IV. p. 535-563)
Tout cela fonctionnait grâce à une "armée" de professionnels de l'écriture, du moine copiste au clerc de chancellerie responsable d'une production en série, mais aussi ceux qui écrivent dans un cadre privé, et jusqu'au simple "écrivant" capable au moins d'une souscription autographe.
La tenue des comptes faisait également partie de l’activité de cette institution, pour les comptes de campagnes, de déplacement, des frais de bouche et d’hébergement, des rentrées bien entendu, etc…
17 MARS
-
Sömmeringen, (Somerda, Sommern, aujourd‘hui Sommerda), déjà
visitée en 975, fut leur première destination de l‘année. Elle était motivée par les diplômes que devait promulguer Otton, presque toujours pour des donations, à la demande de sa mère ou de
son épouse. (RIi II, 2, n° 761, 762)
La petite ville fait partie de ces châteaux, ou curtes reconnus dès la fin du IXe siècle par les Carolingiens, puis les Ottoniens, qui dépendaient de structures plus importantes. Comme exemple, Henri Ier, le grand-père d’Otton, attribua en 918 la ville et ses revenus à l’abbaye de Fulda, ce qui leur permettait de compenser une partie des frais de leurs séjours. comme l’avait fait Otton II deux ans plus tôt, en 975. (Schneider 1727, p. 159 ; MGH DD OI, p. 59, n° 38 ; MGH DD OII, p. 129, n° 115)
25 MARS
- Magdebourg dont le séjour est l’occasion, pour Théophano, de chercher l’histoire d’Otton Ier, ce que lui doit Magdebourg, dont la position de nouvel archevêché depuis 968, à l’avant garde de l’évangélisation des territoires de l’est, comme la Pologne. Elle eut d’ailleurs à se recueillir devant sa sépulture maintenant dans la cathédrale de Saint-Maurice-et-Sainte-Catherine.
Beaucoup plus tard (XXe siècle), Théophano ne le saura bien entendu pas, les habitants de la ville lui attribuèrent le nom de "Ottostadt", la ville d’Otton.
L’impératrice obtiendra la donation de Völlinghausen Gau Engern dans le comté Hermanns, avec ses revenus, à l'abbesse Thiezswid de Meschede. (RIi II, 2 n° 763)
Ils iront ensuite passer les fêtes de Pâques en famille à Quedlinburg, pour revenir à Magdebourg début avril.
31 MARS
- Quedlinburg les accueillera donc à Pâques, ce sera pour Théophano l’occasion de prêter plus d‘attention à la collégiale Saint-Servais, ce saint, d’origine arménienne (Tchouhadjian 2011, p. 162-166) déjà vénéré par les Carolingiens, dont Charlemagne, et surtout par les Ottoniens, qui venaient y passer les fêtes de Pâques.
Elle n’a pas encore les informations qu’écrira sur le saint, dans une centaine d’années, un clerc de Saint-Servais de Maastricht, Jocundus. (Boern 1972, p. 92 et suiv.)
Mais au-delà de ces intérêts historiques, les parents de la petite Adélaïde sont surtout heureux de rencontrer l’abbesse Mathilde, la sœur d’Otton II. En effet, Théophano est de nouveau enceinte; de plus comme il est fréquemment d’usage pour les filles, l’éducation de leur première fille lui serait bien confiée. Mathilde, de son côté, dû en être peut-être ravie ?
11 AVRIL
- Magdeburg n’est pas loin et la Cour repart début avril, pour y être vers le 10 avril et permettre à Otton II de vérifier quelques comptes en suspens, arbitrer également quelques litiges. Théophano participait de plus en plus aux prises de décision.
En cours de route, pour aller à Allstedt, le couple fera étape à Nienburg, afin d'établir une donation en compensation du "servitium" assuré à l’égard du couple impérial pour son hébergement (Bernhardt 2002, p. 172 ; RIi II, 2, n° 765)
L’occasion également de faire un détour par ce petit château (sur lequel on n’a pas beaucoup d’informations). Le peu dont on dispose est un dessin (mais du XVIIe siècle), laisse supposer que c’était un port fluvial avec un pont, en bois sans doute, sur la Saale. Le lieu était donc stratégique pour le commerce et nécessitait bien une visite.
17 – 30 AVRIL
- Allstedt leur est maintenant familier et le plan ci-contre confirme que les espaces de leur hébergement
étaient conséquents. Le temps clément avec le printemps les invite à prolonger leur séjour et permettre de régler certains problèmes avec la
promulgation des diplômes à la clef, en particulier fois pour la construction de fortifications autour de Crémone en Lombardie, toujours avec les recommandations de l’impératrice Théophano.
(RIi II, 2, n° 765,
10 MAI
- Grone, où le groupe a déjà été hébergé à deux reprises, fait partie avec Werla, Goslar, Dahlum et Pöhdle de la « chaine » de cinq châteaux de la Basse-Saxe. Elle accueille et accueillera les couples royaux et impériaux de nombreuses fois. Le plan ci-contre montre, comme pour d’autres villes, la répartition des bâtiments, leur relative sécurité et confort. Les lettres situent précisément l'emplacement des bâtiments.
A = Hall, B = Bâtiment d’habitation, C = Chapelle du château, D = Bâtiment d’accueil.
Entouré d’un fossé et sous la protection du mur d’enceinte.
17 – 31 MAI
- Söhlingen (Sulingen, Sologe), blottie dans la forêt de Sollin, entre Grone et Corvey, à qui elle appartient, était une bonne destination pour Otton II, qui voulait un peu se détendre dans ces grandes chasses royales. (Bernhardt 2002, p. 197)
D’autant qu’en plus, ils y célèbreront la fête de la Pentecôte cette année, inscrite depuis à peine trois à quatre cents ans au calendrier liturgique!
Les 20 et 21 juillet 963, Otto Ier avait confirmé sur demande de l'évêque Willigis de Mayence, des donations et droits de vote, où l’on trouve le nom de Sologe.
JUIN
Mais bientôt, le couple quittera cette étape presque idyllique pour Aix-la-Chapelle, en passant entre autres par Uslar, Paderborn, Essen, Maastricht, etc., soit environ 400 km.
En cours de route, leurs messagers leur apprendront la mort du duc Frédéric Ier de Haute-Lorraine. Son fils Dietrich étant mineur, c’est sa mère Béatrix, la sœur d'Hugues Capet, qui prend la régence. Quelle va être la réaction de Lothaire III, le roi des Francs ?
Ce diplôme est suivi d’un autre concernant les droits des religieuses de Nivelles (Belgique). (RIi II, 2, n° 769c - 770)
On s’attarde un peu à Paderborn puis Essen, qui possède un important ensemble cathédrale (ci-contre) pouvant les loger, avant l’arrivée à Maastricht.
DÉBUT JUILLET
- Aix-la-Chapelle, où il est possible que l’impératrice ait voulu accoucher, car cette ville avait valeur de symbole, mais leur séjour abrégé faillit se terminer de façon plutôt dramatique. En effet, en 976, Otton II confiait maladroitement la Basse-Lotharingie à Charles, frère du roi des Francs, Lothaire. Il en faisait ainsi son vassal, situation que ne supportait pas Lothaire.
Aussi quand Lothaire apprit de son côté la mort de Frédéric Ier, duc de Haute-Lotharingie, décédé en juin, comme le craignait Otton II, il pense tenir le prétexte à la récupération de la Lotharingie et va tenter une expédition hasardeuse.
Tandis que de son côté le couple, dans l’attente de la future naissance envisageait de passer un été tranquille à Aix-la-Chapelle, dont le confort n’est plus à vanter. Le palais possède même une salle pouvant contenir plusieurs centaines de personnes.
(Favier 1999, p. 288-289)
JUILLET
Mais pendant ce temps Lothaire monte discrètement et rapidement son expédition contre Otton II, ayant convaincu le futur roi Hugues Capet et son frère Henri de Bourgogne de l‘accompagner, avec, pour premier objectif, conquérir Aix-la-Chapelle, où se trouve justement le couple impérial. Il réussit à prendre la ville, mais ne put s'emparer ni d'Otton, ni de Charles. (Richer liv. III, 68 p. 309 ; Riché 1983, p. 265)
En effet, ces derniers avait réalisé et évalué le danger trop tardivement, et ce fut une vraie fuite peu glorieuse. La légende dit que Lothaire et ses alliés, entrés dans la ville, purent finir le repas encore chaud des Ottoniens! Mais les vainqueurs, peut-être grisés puis dépassés à l’idée de la capture qu’ils auraient pu faire, finiront par se retirer après avoir laissé leurs guerriers piller le palais, la ville et ses environs pendant trois jours,.
Le but de l'expédition de Lothaire en Germanie avait été, incontestablement, de mettre la main sur la personne d'Otton II ; n'ayant pas réussi, il repartira dépité, ravageant les pays sur son trajet de retour. (Glaber, Chroniques XIe siècle, 1886, liv. I, chap. III, p. 9 ; Riché 1983, p. 265 suiv.)
Notger, évêque de Liège, fut le témoin direct de cet affrontement. Il en fut quitte pour la peur et bientôt il réorganisera de fond en comble le programme de défense de son prédécesseur Eracle, avec Huy et son château-forteresse comme refuge. La cuvette de Liège paraissait d'autant plus menacée qu'à moins de deux lieues vers le sud-ouest, surplombant la vallée de la Vesdre, s'élevait l'impressionnante forteresse de Chèvremont, alors aux mains du comte Immon, associé aux Lotharingiens et dont Notger se rendra maître plus tard, en 987, avec la complicité de Théophano.
MI-JUILLET
- Dortmund servit de refuge à Otton II et son épouse, rappelons-le, enceinte de sept à huit mois. L’enfant à naître gardera-t-il un fort caractère rebelle de cet épisode? Ils s’y retranchent, et face à cette humiliation intolérable, l’empereur convoque à Aix-la-Chapelle une Diète consacrée à ces événements. La décision finale y est prise par les participants d‘organiser une campagne de représailles en France. Wiki.
Profitant de cette période dramatique, le jeune empereur prit son indépendance par rapport à sa mère Adélaïde, encore trop présente à son goût dans le gouvernement de l’Empire : il l‘éloigna de la cour.
AOUT
- Dortmund abrite encore le jeune couple en août et la naissance du deuxième enfant se situe pendant cette période mouvementée. C’est une fille et, cette fois, elle hérita du prénom de Sophie, de sa grand-mère maternelle, Sophia Phocas. (RIi II, 2 n° 771c)
Le couple impérial, est tout à son bonheur, Adélaïde vient d’avoir un an, on pourrait penser que ces événements familiaux apaiseraient la situation. Il n’en fut rien, et Otton II ne négligea aucun détail des préparatifs de son expédition punitive, afin de profiter du peu de temps restant avant l’hiver.
SEPTEMBRE
En effet, les derniers préparatifs militaires pour marcher vers la France, Reims, Soissons, Paris et "punir“ le roi des Francs, Lothaire III, sont bientôt prêts. (RIi II, 2 n° 771ld)
Il sera accompagné entre autres par Charles, le propre frère du roi Lothaire.
Le Ier octobre, Otton II prévint Lothaire II qu’il commençait à envahir la Lorraine. Il ravage les régions de Reims, Soissons et Laon. Lothaire doit s'enfuir, et son frère Charles est proclamé roi des Francs à Laon, qui est ville-capitale, par l'évêque Thierry Ier de Metz,
Mais Otton poursuit Lothaire jusqu'à Paris, où il se retrouve face à l'armée d'Hugues Capet qui résiste et permet à Lothaire de se réfugier à Étampes (Essonne), ville royale carolingienne, qui appartient maintenant à Hugues Capet, après les invasions hongroises du début du siècle. Le siège s’éternise et en novembre, Otton et Charles, s’apercevant qu’ils vont être incapables de prendre Paris, voyant venir l’hiver, préférent lever le siège, vers la fin du mois et font demi-tour.
L'ost royal, mené par Hugues Capet, les poursuivit, reprit Laon, obligea Otton II à s'enfuir ; il crut pouvoir se réfugier à Aix-la-Chapelle, avec Charles, le roi qu'il avait voulu imposer à l'Ouest.
Au sein du royaume franc, la retraite précipitée de l'empereur eut un retentissement considérable et longtemps après on l'évoquait comme une grande victoire de Lothaire III. On exalte un Lothaire poursuivant l’empereur qui a pris la fuite par Reims et Soissons. Le chroniqueur affirme : "Quant à l'empereur Otton II, suivi par ceux des siens qui purent s'échapper, il rentra dans son pays, ayant abandonné, dans la plus grande confusion, une partie de son armée et le butin qu’il ramenait. Après quoi ni lui ni son armée ne s'avisèrent plus jamais de revenir en France". Les documents contemporains parlent de l'événement avec les mêmes accents de triomphe : rédigé au lendemain de la retraite d'Otton II, un acte pour l'abbaye de Marmoutiers, près de Tours, est daté du règne du "grand roi Lothaire III, dans sa vingt-sixième année, celle où il attaqua le Saxon et mit en fuite l'empereur". (Richer l. III, LXXII, et suiv. p. 315 ; Riché 1983, p. 265 et suiv. et W.)
OCTOBRE - NOVEMBRE
Le tableau, ci-contre en 1837, glorifie l’action du roi des Francs en donnant un aspect peu glorieux à la retraite de l’empereur germaique Otton II, poursuivi par le roi franc Lothaire III!
Pendant ce temps, de Constantinople, son fidèle Niketas Kurkuas envoie à Théophano des nouvelles qui ne sont guère meilleures. Bardas Skléros est
toujours en conflit avec le parakimomène Basile, le maître du pouvoir, et prêt à conquérir Constantinople. Basile est contraint de
faire appel à Bardas Phocas, le cousin du rebelle. Niketas promet des nouvelles dès qu’il apercevra une solution.(Ostrogorsky 1996, p. 325 et suiv.) Il faut se rappeler que celles-ci mettent près de trois mois à arriver.
25 DÉCEMBRE
-
Frankfort, qu’Einhard nomme Frankonovurd dans ses Annales, comme lieu de séjour de Charlemagne pour Noël 793. Il y prépare et promulgue son capitulaire sans doute le plus important de son
règne. Les hérésies religieuses y sont évoquées, l'adoptianisme, la querelle des images, etc.
Même si la neige accompagne le couple, les forêts qui entourent la ville vont permettre des loisirs aux jeunes parents. On le voit sur la carte (mais de 1638), sa position stratégique sur la rivière Main est primordiale.
Mais cette fois Théophano pense avoir plus de temps pour remonter jusqu‘aux Romains. Voir de plus près l’identification de l’origine et de l’équipement qu’elle trouve sur la Römerberg, "la montagne des Romains", sans doute l’emplacement du camp romain, qui l‘intrigue. Jules César n’est-il pas venu jusque-là ?
Mais bien qu’aidée par ses suivantes, dont la fidèle Anastasia Dalassena, et bientôt par Barbara, elle s’occupe également beaucoup de ses deux filles pendant ce séjour.
Ne serait-ce que veiller et faire en sorte que la chaleur soit conservée au moins dans une pièce. L’usage de la cheminée est fréquent dans ces grandes bâtisses où l’on vit tous ensemble, tandis que chez les paysans, on construisait son habitat au-dessus de l’étable et on profitait ainsi de la chaleur naturelle des animaux (jusque récemment !)
On abandonnera, début janvier, cette atmosphère chaleureuse et festive pour Erstein située à environ 250 km plus au sud,
Magdebourg, Landeshauptarchiv Sachsen-Anhalt, Rep. U 1, Tit. I. n° 23: W. cliché R. Kahsnitz Site.
Sceau d’Otton II. Diplôme confirmant à Saint-Denis ses biens situés dans l'Empire. Archives nationales (K17, n°4) octobre 980
Otton Ier et Edith arrivent à Magdebourg
Müller-Baden, Emanuel (Hrsg.): Bibliothek des allgemeinen und praktischen Wissens, Bd. 2. Berlin, 1904. W. Cliché Andreas Praefcke
Quedlinburg. Vue de la collégiale Saint-Servais. IXe et XIe siècles. W. Cliché Jungpionier.
Nienburg. Fortifications en 1627.
Plan d'Allstedt vers Xe siècle
Grone. Plan des bâtiments, l'ancien Palais. Site
Essen. Ensemble cathédrale . Site.
Aix-la-Chapelle, Ensemble cathédrale. Reconstitution. Nathan classe de 5e.
Château de Chèvremont. Site :
Paris en l’an mille. Représentation XVIIe siècle. Site
Retraite d'Otton II. Passage de l'Aisne
Durupt Charles XIXe siècle. Château de Versailles. Cliché 97-007995. Gérard Blot. RMN. Site.
Francfort et sa région, par Bagrow-Skelton vers 1638.Koninklijke Bibliotheek, La Haye. Site.
Naissance du Christ. In Codex Saint Géréon
Cette année fut donc une année de tous les dangers pour l'impératrice.
Sa fuite précipitée, enceinte, devant Lothaire. L'attente du retour des expéditions de son mari.
La naissance de sa deuxième fille.
Les mauvaises nouvelles de Byzance. On peut dire que son initiation est faite!
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