TEXTES ET DOCUMENTS
1. EMPIRE BYZANTIN LA COUR ET LES INSTITUTIONS
Le Livre des Cérémonies. Exemple de la précision des sujets traités.
D’après, Constantin VII, le Livre des Cérémonies, trad. et établis par Albert Vogt, Chapitre 78 (69) - P. 191
Ce qu’il faut observer lorsqu’une course hippique a lieu selon le calendrier établi.
a) - De l’urne. Comment il faut l’agiter.
b) - Acclamations lors de la victoire des cochers.
c) - Ce qu’il faut accomplir lorsque les courses ont lieu l’après-midi.
d) - Ce qu’il faut accomplir lorsque le micropanite (factionnaire) va être promu fonctionnaire.
e) - Acclamations quand un cocher est constitué second.
f) - Ce qu’il faut observer lorsque le bigarios (cocher vainqueur) reçoit la ceinture.
g) - Acclamations quand les vainqueurs reçoivent les honneurs du triomphe de l’Hippodrome.
h) - Acclamations à l’occasion de la défaite et de la mort d’un chef émir de la guerre.
i) - Sur un cheval de la première course écarté de course et comment il faut le remplacer.
j) - Du topotérète (lieutenant de dirigeants civils ou militaires).
k) - De l’interversion (diversion).
l) - Des partages.
m) - Ce que doit observer un cocher durant la course.
n) - Pour suspendre ou dépendre le drapeau.
o) - D’un cheval fourbu.
p) - De l’épreuve.
1. EMPIRE BYZANTIN THEOPHANO
Principaux auteurs discutant de l'origine de Théophano.
Vasiliev, 1951, p. 246-251 ; Uhlirz, 1895, p. 466. Sa fille Mathilde étant d’avis contraire.
Schlumberger, 1896, t. I, p. 81 et suiv. hésite.
Widikund (vers 976), in Res Gestae Saxonicae, 1839, p. 465. La cite comme étant la nièce de Tzimiscès.
Puis à partir de Moltmann, 1878, p. 13 et suiv. ; Benrath, 1940, p.1 et suiv. ; Dölger, 1949, p. 466 et suiv. ; Schreiner, 1994 , ......vérifier, 1991, validée par Ostrogorski, ce qui l’authentifie, 1956, rééd. 1996, p. 321 ; Kresten, 1991, p. 403-410 ; Wolf, rééd., 2012, p. 68 et suiv. qui fait maintenant référence.
1. EMPIRE BYZANTIN LES MACÉDONIENS
Les empereurs
La dynastie des Macédoniens se maintint au pouvoir jusqu’en 1056, bien souvent grâce à la fidélité de ses sujets. Elle est à l’origine de l’apogée de l’Empire byzantin, qui sera atteint lors du mariage en 1018 de Romain Argyros II (968-1034) avec Zoé Porphyrogénète.
886-913 : Léon VI le Sage, sans doute le fils de Basile Ier fils. Les Macédoniens survécurent à la querelle de la tétragamie, lorsqu’il osa braver l’Église en contractant ses quatrièmes noces, pour légitimer son jeune fils, le futur Constantin VII, qu’il nommait désormais le Porphyrogénète. (Cheynet, in Le monde Byzantin, 2007, p. 25, 26).
913-920 : Constantin VII le Porphyrogénète, empereur pour une première période.
920-944 : Co-empereur avec Romain Lecapène, drongaire, également de famille arménienne qui maria sa fille Hélène au jeune Constantin VII en 919, s'emparant ainsi du pouvoir en 920. Mais en 944, il est renversé par ses fils.
945-959 : Retour de Constantin VII le Porphyrogénète, toujours marié à Hélène Lécapène.
959-963 : A la mort de Constantin, elle prit la régence de son fils Romain II, celui-ci marié à une autre Théophano décède en 963.963-976 : Leurs fils Basile II et Constantin VIII, étant trop jeunes passent sous la régence de leur mère Théophano, qui en se remariant avec Nicéphore lui offre ainsi le pouvoir.
963-969 : Nicéphore II Phokas devint donc empereur, après avoir épousé Théophano.
969-976 : Jean Ier Tzimiscès, après l’assassinat de Nicéphore II Phocas, usurpa le trône aux deux jeunes prétendants, Basile II et Constantin VIII, tout en garantissant leur protection.
976-1025 : Au décès de Tzimiscès. Basile II devient empereur avec Constantin VIII.
1025-1028 : Enfin à sa mort, Constantin VIII devint enfin empereur seul.
3. VOYAGES - ANNÉE 974
Hellweg :
La “Hellweg” était le nom donné au Moyen-Âge à l’axe Est-Ouest, considérée comme route royale prioritaire, militaire et commerciale. Les recherches archéologiques la donne pour avoir existé avant Charlemagne. (Bernhardt 2002, p. 177) Elle était entretenue pour maintenir une largeur dégagée de tout obstacle permanent, végétal ou autre, correspondant à une longueur de lance, c’est-à-dire 3m. Les principales villes desservies, d’ouest en est : Aix-la-Chapelle, Duisburg, Essen, Dortmund, Werden, Werl, Soest, Erwitte, Paderborn où elle se sépare en trois branches : vers le nord, Schieder, Hameln vers Hanovre et Braunschweig ; vers le sud, Marsberg, Korbach vers Francfort ; au centre, la voie continue jusqu’à Driburg, Brakel et Corvey qui contrôle le passage de la rivière Weyser, vers jusqu’àMagdebourg. Autour de l'an 1000, la voie est devenue la «Via Regia», la voie royale ottonienne. C’est pratiquement le tracé suivi actuellement par l’autoroute n° I. (Bernhardt2002, p. 179)
Entre Rhin et Elbe, les villes concernées : Duisburg, Mülheim an der Ruhr, Essen, Wattenscheid, Bochum, Dortmund, Unna, Werl, Soest, Erwitte, Geseke, Salzkotten, Paderborn, Bad Driburg, Corvey. (W)
Sur cette carte, on voit ce tracé et son prolongement possible verss Magdebourg, Alstedt, Friztlar ou Mülhausen.
(extrait d'une reproduction de Kaïserbesuche in Soest, p. 6. In Bernhardt 2002, p. 322)
3. VOYAGES - ANNÉE 977
Parouyr :
On rencontre de bonne heure en France des Arméniens occupant des fonctions quasi militaires auprès des Romains. Ainsi, pour le futur empereur Julien dit l'Apostat (331-363), qui occupera cette dignité les deux dernières années de sa vie seulement, avait étudié à Athénes. Il y avait rencontré Parouyr (Proeresius), un jeune arménien, compagnon et disciple de Grégoire de Nazianze, appelé à devenir un des plus grands orateurs de son temps.
Effectivement, il devint prince des orateurs à Rome réputée, d’après les chroniqueurs, comme la reine des villes et de l’éloquence. Nommé préfet des Gaules, Julien se souvint de son ancien condisciple et l'appela à ses côtés, à Lutèce où il se trouvait. Parouyr accepta, vint, accompagna Julien dans ses campagnes et le conseilla dans son action d'administrateur. Il fut en particulier à ses côtés à la bataille de Argentoratum (Strasbourg) où les Germains furent battus en 357. Il le quitta toutefois ensuite sur fond de désaccord avec sa politique. (Morgan 1919, p. 305)
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